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1 commentaire

  1. Bien sûr!
    Dans le premier tableau (celui que je préfère de loin), Icare n’apparait pas encore. Il est en vue, le deuxième personnage le voit déjà, mais nous pas encore. La suggestion d’un ardent soleil (de ceux qui font fondre le bitume, et donc la cire) en une surexposition du premier plan qui fait plisser les yeux alors qu’il se couche à l’horizon – mais d’où vient donc cette lumière sinon d’un divin courroux? Déjà le père se noie mais peu s’en émeuvent. Il y a mieux à faire (comme scarifier cette terre avec application, le regard humblement penché vers le sol) que de se prendre pour un demi-dieu en voulant approcher les nimbes interdites… A bon entendeur, salut!
    Et merci, Promeneur, pour votre association de pensées.

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